Tout est jeu …
Tout est jeu politique … tout est jeu dans les « cours »
On calcule … court-circuite … ne pensant qu’au parcours
Il doit être sans faute … il doit être parfait
Peu importe l’éthique … le bon grain et l’ivraie
Tout est jeu mon ami … quand tu comprends cela
Tu domines la vie … tu comprends le combat
Que mènent divers « rois » qui habitent nos terres
Pour garder le pouvoir jusqu’à mordre poussière
L’humain n’est pas pour eux … ils naviguent ailleurs
Au sein d’une planète … dépourvue de tout cœur
Il faut surtout paraître … peu importe la lutte
Il faut anesthésier et l’on parvient au but
On viole « Droits de l’Homme » tous les jours que Dieu fait
Sans aucune conscience on transgresse c’est vrai
La liberté … les droits … les devoirs de chacun
C’est devenu banal et courant … c’est certain
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Droits de l’Homme … 1789 … 1989
J’aimerais que ce jour on cesse d’en parler
Essayant … oui plutôt … de les réaliser
Car tout n’est qu’apparence et l’on s’amuse en fait
A pallier avec lois qui sont plus qu’imparfaites
La Société se meurt … on parle « liberté »
On dit « égalité » … on dit « fraternité »
Bien jolis sont ces mots qu’on avait associés
Dans la « Révolution » d’un matin de juillet …
Ces mots tout flambants neufs … ils sonnaient juste et fort
On les clamait bien haut en marchant sur les morts
Liberté … Liberté… chérie … tu es bafouée
Quels crimes en ton nom on peut perpétuer !
Tout au long de l’année à la télévision
On parlera de toi … triste révolution
Et l’on dépensera des milliards pour fêter
Un poisson que l’on noie … dégâts il faut cacher
C’est pure exploitation du pauvre esprit humain
Qui perdant ses valeurs ne comprend plus très bien
Et qui recherche alors dans le spectaculaire
Comment lors oublier dans fête sa misère
Le Lac de Tibériade nous n’en sommes pas loin
Si courtes sont nos vues que nous ne savons point
Dépasser bout de nez … humains si peu malins
Et deux mille ans après … nous nous croyons très fins
Le merveilleux attire et fait courir les foules
Qui en oublient ainsi que le bateau il coule
Et seul cet « apparent » … véritable « veau d’or »
Comme au temps de Jésus semble appeler encore
Rien n’a beaucoup changé en ces deux cents années
On tue bien trop souvent s’attribuant « Vérité »
Tantôt au nom de Dieu ou de la Liberté
L’aberration de l’Homme en l’Histoire est ancrée
Va-t-on mobiliser nos âmes et nos cœurs
Pour que demain le Monde …connaisse le bonheur
Il est temps de se battre … vous tous … à « ses côtés »
Les Droits de l’Homme alors … seront « Réalité »
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Ghettos …1990 … 2010 !!!
Allez-vous écouter enfin ces cris du cœur
Ces appels « Au secours » de l’Homme qui se meurt
Il est vraiment urgent de prôner ces valeurs
Qui sauveraient la vie de ces jeunes « casseurs » !
On ne peut rester là impassible et serein
Devant cette détresse incomprise en chacun
On ne peut rester là égoïste et repu
Devant ces malheureux qui « hurlent » dans les rues !
Car si l’on ne fait rien ce sera l’escalade
Ce sera toujours plus … fini la dérobade
Ils n’ont eux rien à perdre … ni rêve … ni espoir
Un « ghetto » peint en rose il reste toujours « noir » !
Messieurs les gouvernants … je sais … ça vous dépasse
« Tant va la cruche à l’eau qu’un jour elle se casse »
Cessez donc maintenant de jouer à l’autruche
Vous devrez faire face à toutes les embûches
Car ces dossiers ouverts par ces « non intégrés »
Oui vous aurez beau faire il faudra les régler
Ces problèmes de fond que vous aimez noyer
Nécessaire aujourd’hui de vous y « atteler »
Tout est à repenser … ces structures désuètes
Et cette « éducation » qui marche sur la tête
Allez-vous donc enfin devenir des adultes
Et cesser de plier dès qu’un peu de tumulte
Au sein des syndicats vous fait craindre le pire
Et que vous avez peur quand ils sont en délire
On ne gouverne pas « la tête en plein désordre »
Il faut vous ressaisir … c’est un cri … c’est un Ordre !
Vous êtes dépassés mais écoutez donc l’autre
Entendre son prochain est un devoir d’ « Apôtre »
Et vous devriez l’être en « figure de proue »
Quand on s’engage on doit continuer jusqu’au bout
Le pouvoir est flatteur mais n’oubliez jamais
Que titres et fonctions doivent être liés
Et qu’accepter un poste entraîne des « devoirs »
On apprenait cela autrefois en Histoire !
Vous les avez parqués comme des bêtes immondes
Dans des « cités dortoirs » … à cela ils répondent
Inévitablement l’Homme un jour réagit
Lorsqu’au bout du couloir il ne voit que la nuit
Où est l’égalité … vous tirez sur la corde
Cette école est « stupide » elle sème discorde
Et ne fait qu’aggraver les écarts de naissance
Cautionner tout cela est terrible indécence !
Et vous pensez pallier avec quelques milliards
Gagner un peu de temps en occultant retard
Difficile de taire en son fort intérieur
La révolte qui gronde en ceux qui ont du cœur
Qui croyez-vous leurrer avec ce « sale argent »
Qui est parfois acquis au coeur d’un blanchiment
Le peuple n’est plus dupe et dans un réalisme
La « Vérité » naîtra émergent de ce schisme
Comprenez s’il–vous-plaît que c’est de « dignité »
Qu’ils parlent ces « exclus» et qu’ils vont « Tout casser »
La Société se meurt … Il faut vite endiguer
Violence et panique ou le sang va couler !!!
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Messieurs … la manif de 1995 !!!
C’est un ultimatum – prière
Aux « Politiques » … aux « Laissez Faire »
Nos lycéens qui crient très haut
Comme à la Cour du Roi Pétaud
Non je puis dire … ils n’exagèrent
Elle est fort juste leur colère
Et le malaise est plus profond
Qu’il n’y paraît à l’horizon
Ils sont plus malins qu’on le croit
Ils analysent … c’est leur droit
Et vos gadgets bien ridicules
N’amusent plus que les crédules !!!
Car nous aussi … parents d’élèves
Y’a bien longtemps qu’on fait des grèves
Pour même revendications
Sécurité … Education
Bien sûr c’est toujours « lettre morte »
On reste souvent à la porte
C’est dur quand il faut persuader
Qu’il est urgent de … « Nettoyer »
Plus possible de supporter
Un Avenir si étriqué
Car le Futur qu’on leur prépare
Il tient plutôt du « cauchemar » !
Votre télé ! … Les courses à quoi ?
Les caddys pleins … les « passe-droits »
Et votre « intox » dans les médias
Ces « bla-bla-bla » … ils en ont « RAS » !!!
Du Pain … des Jeux … comme aux Arènes
Vous tentez de garder les rênes
Mais la gangrène bien interne
C’est un peu un « Hydre de Lerne »
Ils n’admettent plus le « cynisme »
L’hypocrisie … Le faux « marxisme »
Vos beaux discours en « Vase clos »
Et le « métro – boulot – dodo »
Et vos magouilles lamentables
Vos agissements détestables
Vos camouflages enrubannés
Ca ne prend plus … C’est dépassé !
Ce que vous acceptiez … sans honte
Fausses factures … Trafics de Compte
Ils ne veulent plus l’avaler
Page est tournée … C’est dépassé !
Eh oui ! … votre bateau prend l’eau
Vous êtes en dessous de zéro
Vous ne pourrez plus colmater
Il est trop tard … C’est dépassé !
Il vous faudra changer vos vues
Car la Jeunesse est dans les rues
Elle veut « Vivre » et « Exister »
VOUS ETES VRAIMENT … DEPASSES !!!
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La liberté … c’est quoi ?
La liberté c’est quoi … La liberté c’est qui ?
La liberté de quoi … La liberté de qui ?
Un difficile outil qu’il faut manipuler
Avec intelligence … en ces temps perturbés !
Ce n’est pas une fin … c’est un commencement
Quand l’Homme l’a conquis il doit tout doucement
S’éveiller à la vie … faire des choix enfin
Pour vivre pleinement … prendre en main son destin
La contrainte envolée … c’est le piège bien sûr
La liberté devient un poison pour l’impur
La liberté peut tout … elle n’oriente rien
Par son côté virtuel … inaccessible bien
Elle conduit vers quoi quand nous la possédons
Nous n’avons la sagesse et la foi de Platon
Et les déviations qui sont pires que fiel
Ne semblent pas conduire à la vie éternelle
Ce n’est que porte ouverte en cette fin troublée
Que nous a-t-elle offerte en cette lutte armée
Liberté de penser … Liberté de pouvoir
Liberté d’avorter et Liberté du croire
Liberté de l’Amour qu’on a banalisé
Pour étouffer la flamme en des hommes paumés
Liberté de tuer au nom des religions
Par amour pour un Dieu qui n’est qu’institution
Nous Peuple libre en fait qu’avons-nous à offrir
A tous ces délinquants qui s’ennuient à mourir
Ils sont libres pourtant … ils sont bien nés ainsi
Mais trop de liberté n’est-il pas là … folie
Folie de ne savoir où conduire nos pas
Quand on est libre enfin et que « lois » on n’a pas
Les médias au pouvoir sont à éliminer
Ils prêchent le malheur … en toute liberté !
La liberté de l’Homme est à utiliser
Si elle peut conduire à un être évolué
Mais sans la conscience et l’amour du prochain
Elle peut tout détruire … et la Terre … et l’Humain !
Aussi ce bien précieux peut être ravageur
En déguisant le faux et mener à l’horreur
Ces « Pays Liberté » ont-ils tant progressé
Je n’en suis pas si sûre … Liberté … Liberté
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C’était en 1988 … et maintenant ?
Ils ont pignon sur rue et notabilité
Ils ont conquis la gloire et la célébrité
De diplômes truffés ainsi que des foies gras
Ils arpentent couloirs … allant de ci … de là
Ils courent affolés les papiers dans la main
« Le dossier est urgent … il doit partir demain
Vite cet imprimé il est à compléter
Mon cours va commencer … je reviendrai signer »
Ce monde n’est celui qu’avait dépeint Huxley
Loin de la ruche en fait est ce qu’on peut trouver
Les pouvoirs sont souvent en des mains inexpertes
Ne facilitant pas ainsi les découvertes !
Les relations humaines bien sûr on connaît
Des scientifiques forts … très très forts … ça on sait
Mais il faudrait peut-être un jour envisager
Que certains directeurs soient juste un peu formés
C’est un de ces milieux où il vous faut pallier
Aux carences de pions admis sur l’échiquier
Si encore on avait le droit de s’exprimer
Mais c’est un droit « fictif » … « taisez-vous … travaillez » !
Soyez à vos bureaux et cessez de parler
Chacune à votre place … eh bien ! … Vous avancez ?
Est-ce façon de faire … cela est-il gérer ?
Voudriez-vous avoir un peu de dignité !
Les étudiants aussi voudraient être entendus
La communication n’y fonctionne pas plus !
Pourtant des commissions siègent très fréquemment
Mais il n’en ressort rien … c’est vraiment surprenant !
C’est la « réunionnite » on ouvre « parapluie »
Pour cela … fabuleux … tous seuls ils ont appris !
« Mais comprenez nous donc … la place n’est facile
Nous pauvres directeurs … quelle vie difficile ! »
C’est triste à en pleurer … croulant sous les dossiers
Il va falloir les plaindre … envahis … débordés !
Mais vous rendez vous compte … il leur faut assumer
Le poste pour lequel ils s’étaient déchirés !
Ils nous prennent souvent pour de pauvres débiles
La gestion il est vrai est certes … difficile
Mais un peu d’humanisme … n’a jamais tué personne
On enseignait cela … avant … à la Sorbonne !
Ces « braves médiatiques » … qu’on nous montre en télé
Ce sont les arbres verts qui cachent la forêt
Mais les trois-quarts restants quand on les voit de près
Ne sont pas si jolis et ne sont pas si gais !
Ainsi que de gros rats ils dévorent « mémoires »
Ils voudraient bien un nom … eux aussi … dans l’Histoire
L’inédit est leur but … ils espèrent trouver
Ce que d’autres n’ont pu … malheureux … inventer !
C’est une course folle pour des publications
Il leur en faut beaucoup pour devenir « Patron »
A les voir s’agiter au milieu du « cénacle »
J’avoue que bien souvent … fatiguée … je renâcle
Et que deviendront-ils en leur fin de carrière
Fin de leur « existence » … Fin de leur « ministère » !
Ils auront traversé sept ou huit décennies
Sans savoir … ni comment … ni pourquoi … une Vie !!!
Mais qui pourrait prétendre avoir la solution
A tout ce qui se pose en interrogation
Nous en savons si peu qu’il faut bien que l’on cherche
Alors qu’ils continuent … mais en Paix … leur recherche !!!
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Un mur … celui de Berlin !
Un mur s’est effondré … tout va aller très vite
Un signal est donné et tout se précipite
Il est temps d’éveiller nos esprits engourdis
Il est temps de secouer les « Grands » et les « Petits »
Frontières vont s’ouvrir et nos mentalités
Vont nous faire souffrir car nous ne sommes prêts
Pas vraiment accueillants il nous faudra lutter
Portés par des courants … des nationalités
Quatre-vingt douze est là … oui très proche bientôt
Et dans l’assistanat nous jouons les « Héros »
Chacun tête sous l’aile … que va-t-on devenir ?
Vienne cette étincelle … on pourrait tous grandir
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A travers une Europe …
A travers une Europe … Construisons une France
Pour sauver une Epoque … Pour sauver une enfance
Qui espère en un Monde en sa tendre innocence
Têtes brunes et blondes … pleines de violence
A travers une Europe … Construisons donc un Homme
Qui ne soit une loque … agissant … autonome
Et qui fort dignement prenne en main son destin
Pour vivre tolérant … sur un même chemin
A travers une Europe … Construisons un Futur
Quittant vieille défroque pour le bleu de l’azur
Et les étoiles d’or … en cercle … au firmament
Seront tel un trésor … divin … rassemblement
Et lors de l’Atlantique à l’Oural … sans barrières
Dans une même éthique et bousculant frontières
Nous vivrons cet « Avent » de l’Homme libéré
Et de la « Nuit des Temps » … naîtra … l’Humanité
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A Monsieur le Ministre de l’Agriculture …
T.F.1 … Hier soir … un charnier peu banal
Des animaux qu’on tue sans aucune morale
L’image était très forte … elle crevait l’écran
Elle faisait vomir et remuait le conscient
Ce ne sont … je le sais … que choses fort courantes
La Roumanie aussi a ses villes puantes
Mais ce n’est une excuse à massacrer pour rien
Ces tortues … ces chevaux … ces bovins et ces chiens !
N’avez-vous point de cœur et n’avez-vous point d’âme
Pour laisser faire ainsi le sachant ce programme
Quelques décrets de lois soulageraient souffrance
A quoi bon tout ce mal et cette violence !
Il est temps de stopper dans sa course effrénée
Un abêtissement qu’on ne peut tolérer
L’Homme a-t-il donc perdu réflexion et bon sens
Et veut-il donc finir … noyé dans sa démence !
Mais j’ose croire … Monsieur … qu’un Ministre est censé
Et qu’un débordement peut toujours s’endiguer
Vous avez tout pouvoir … Responsabilités
Alors … OUI … maintenant … C’est à vous de jouer !!!
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Fiction …
Enfermé dans son Monde … L’Homme faisait l’autruche
Caquetant çà et là … la tête dans sa « cruche »
Il y a bien longtemps … peut-être deux mille ans
En l’an quatre mille un nous sommes à présent !
Le second millénaire venait de terminer
Et les médias « jasaient » … oui les médias « jasaient »
Il semblait impossible alors de remonter
La pente qu’on avait si bien dégringolée !
Et les guerres passaient … et les morts par milliers
S’entassaient … s’entassaient … aux portes des charniers
Et la vie doucement … s’écoulait … s’écoulait
Très égoïstement … oui … on civilisait !
C’était la fin d’un monde et certains le savaient
Mais que pouvaient-ils faire … face à ceux qui fuyaient
Refusant de lutter … anéantis … vidés
Face aux jeunes furieux … souvent découragés !
L’Homme dans un sursaut essayait de « pallier »
Par de l’humanitaire au milieu des « mêlées »
Pataugeant çà et là dans ce qui dépassait
Tout ce que son cerveau « scientifique » pensait !
C’était y’a fort longtemps … cela paraît lointain
Cette petite Terre … elle avait des « humains »
Ils détenaient alors en leurs mains leur destin
Que sont-ils devenus ? … Personne n’en sait rien
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Homme ou animal …
A-t-on choix de comportement
A-t-on liberté pour agir
Dans la vie abrutissement
Suivant son cœur sans s’asservir
On a toujours la liberté
De penser et de décider
Mais la chaîne il faut accepter
Devant le devoir impliqué
L’Homme est libre de liberté
Puisque sans cesse il doit choisir
Le désordre doit se forger
Dans la liberté du « désir »
Le grand débat pour être un Homme
Passe donc par la liberté
Le choix d’Eve devant la pomme
La cueillir ou la rejeter
L’animal libre va et vient
Il doit manger … il doit dormir
Se meut-il par choix … par instinct
L’animal peut-il réfléchir ?
Point d’équilibre dans la vie
Intelligence et liberté
La personnalité choisit
Lorsque l’adulte est libéré
De l’asservissement total
A des données plus qu’instinctives
Qui font ce qu’est un animal
Qui n’a volonté productive
Même en prison un homme est libre
De réfléchir ou ne rien faire
De canaliser ses désirs
Pour un spirituel plus prospère
Le « surhomme » viendra un jour
Remplacer l’animal d’hier
Sa mutation est-elle en cours
Grâce à la liberté première …
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La Politique … Les Religions
La Politique … les Religions
Pour l’équilibre des nations
Devraient-elles travailler ensemble
Cela se pourrait ce me semble
Avec des réserves quand même
Il y a trop souvent problème
Car politique et religieux
Ce n’est pas toujours très glorieux
Les religions ont « mots à dire »
Même si cela fait sourire
Quant elles auront évacué
Leur prosélytisme désuet
L’intolérance qui condamne
Et oui c’est là tout un programme
Qu’elles ne verront plus demain
Que l’ « intérêt » de l’être humain
La politique ne doit rire
Elle est dans le même délire
Elle a si bien « dégringolé »
Qu’elle n’est prêt de remonter
Il semblerait intéressant
Dans ce millénaire important
Qu’une éthique puisse enfin naître
Dans ce chaos et ce mal être
Alors a-t-on vraiment le choix
Doit-on dissocier « Dieu » et « Loi »
Ou bien tenter de dialoguer
Dans le respect de la « Cité »
C’est un pari fort difficile
Une confrontation subtile
Mais il faut peut-être essayer
Vu l’ « état des lieux » recensé !
C’est vrai qu’au point où l’on en est
On a peut-être à y gagner
Les miracles c’est religieux
Et il nous en faudrait … sérieux !!!