Mon enfant …
Comme chat le temps tourne autour de toi mon cœur
Tu es sur cette terre et rêves de bonheur
Mais pris par la vitesse à plus de cent à l’heure
Est-ce lui ou bien toi qui sera le vainqueur ?
Chaque jour que Dieu fait … tu es là tout sourire
Tu ouvres grands tes bras … que veux-tu donc nous dire ?
Que le Temps est précieux … qu’un Monde va s’ouvrir
Que le temps est venu où Il va revenir
Innocent et fragile à l’aube de ta vie
Ce temps qui te dévore … Oh … tu ne t’en soucies
Tantôt tu le gaspilles … et tantôt tu l’oublies
Mais il tourne toujours filant vers l’Infini
Cette dimension « Temps » quelle est son importance
Maître de l’Univers … du Cosmos … quelle chance
Echelle de valeur … symbole de puissance
Il faut compter avec et s’armer de patience
Ce temps plus que raison il faut le laisser faire
Il est plus fort que nous … il est plein de mystère
Il résout bien des maux … fait plier le plus fier
Et si l’on a confiance … bien souvent il éclaire
Il s’étire et s’envole … fait les quatre cents coups
Il est si imprévu qu’il peut nous rendre fous
Il n’arrête jamais … un véritable loup
Mais sa plus grande force est qu’il peut vraiment TOUT
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Interrogations …
On a les jours avec et l’on a les jours sans
Ce moral nécessaire au milieu des tourments
Tout sombre alors parfois dans un « noir optimiste »
Et tout paraît « fichu » quand je suis pessimiste
Et pourtant quand je coule … alors Il tend la main
Et me rattrape au bord du précipice … malin
Je le sens près de moi … je sens qu’Il me surveille
Et me dit « N’aie pas peur » … « Je suis là et je veille »
Quelle contradiction ce combat qui m’habite
C’est la raison qui lutte avec la Foi subite
C’est la logique en fait qui refuse d’admettre
Tout cet inexplicable au bord de la fenêtre
Ouvrant sur l’Avenir … Ouvrant sur l’Univers
Ouvrant sur l’Inconnu … Pauvre petite Terre !
Que c’est dur de savoir que nous ne savons rien
Et que tout ce « pouvoir » n’est qu’apparence enfin !
Pauvre théologien et pauvre scientifique
Ils nagent dans la « lettre » … le « concret » … la « technique »
Et pourtant sans complexe ils sont sûrs de gérer
Ce qu’ils prennent pour « vrai » … ce qu’ils ont pu trouver
Comment leur expliquer la valeur des diplômes
Des repères qu’ils ont … bien réels mais fantômes
Et a souvent besoin de prouver qu’on existe
En étant reconnu … en étant sur la liste
Vous qui faites « carrière » et vous qui cherchez « gloire »
« Vérité de la Science » et « Vérité du Croire »
Comment pouvez-vous donc ainsi vous mesurer
A celui qui détient l’unique Vérité
Quand vous aurez un jour l’humilité de croire
Que souvent l’illusion n’est qu’une belle histoire
Vous trouverez peut-être un chemin qui conduit
Vers cet inaccessible … au regard d’aujourd’hui
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Bipède…
Tu achètes du rêve … un peu de paradis
Mais la vie te rattrape … insidieuse … sans bruit
Et les marchands du Temple assidus à ta porte
Ne te laissent répit … bruyante est la cohorte
On ne fuit pas la vie … on ne fuit pas la mort
On assume ici bas car c’est là notre sort
Le pétillant trompeur … le clinquant qui attire
Ils absorbent ta vie … dans ce flou … ce délire
Ouvre donc grands tes yeux … cesse de bougonner
Contre tout … contre rien … IL est à tes côtés
Mais tu ne le vois pas … fourmi dans ce désert
Happée par le « veau d’or » qui est bien éphémère !
Pauvre terrien paumé … te réveilleras-tu
Tu as passé 2000 et tu es plus perdu
Qu’il y a deux mille ans dans la Judée d’alors
Où certains le suivaient … lui confiant leur sort
On tue le temps sans but … Il ne doit apprécier
Nous ne sommes pas nés si ce n’est pour tenter
De gravir l’escalier qui se tient devant nous
Et monter jusqu’à Lui …qui nous attend … Debout !
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Quête existentielle …
La quête existentielle … en tous temps … en tous lieux
La quête du Savoir …besoin impérieux
D’un sens à une vie … d’une finalité
Qu’une fonction sur terre aurait réalisée
Anxiété générale … impuissance sans doute
A trouver un repère … engendrant la « déroute »
Et l’Homme cherche en vain dans le chaos de l’heure
A quel « Messie » rallier … son Esprit et son Cœur
Tout comme au premier Siècle … des peurs plus que logiques
Risquent de nous conduire à l’Apocalyptique
La perte de confiance en un futur serein
Déstabilise au mieux tout le contexte humain
Qu’allons-nous devenir devant tout ce grand vide
Et ces démocraties trouveront-elles un guide
Qui dans un plébiscite agréable et léger
Redonnerait du goût … pour vivre et pour gérer
C’est un Chef Spirituel qu’il nous faudra trouver
Pas un politicien qui ne fait que parler
Un décideur « mythique » sage et omniprésent
Qui sache bien comprendre … efficace et géant
Qui saurait redonner … une « Action » et un « But »
Dans un matérialisme arriviste et confus
Qui saurait redonner … comme au « Temps » de Jésus
L’énergie pour se battre au cœur de l’Inconnu
Qu’entend-t-on par « Messie » … Sera-t-il Roi ? Prophète ?
Ou Prêtre consacré … dans un « Ordre » … une « Tête » ?
Peu importe vraiment … là n’est pas l’essentiel
Mais il doit correspondre à un besoin réel
Comme au temps de Jésus les valeurs religieuses
Ont perdu tout pouvoir et la crise est sérieuse
Et dans un « mysticisme » qui reprend plein essor
Les gens cherchent en vain un peu de réconfort
La pauvre Société souvent « prise en otage »
Scrute en vain l’horizon se tournant vers les « Mages »
L’intégrisme progresse … il faut faire attention
Il a ses « zélateurs » … fanatique légion …
Qumran au cœur du monde … remet tout en question
Va-t-elle s’effondrer toute l’ « Institution »
Pourquoi avoir changé ou tronqué l’historique
On ne peut pas tuer ce qui est véridique …
On ne peut qu’étouffer pendant un temps donné
Ce qui sera un jour au monde révélé
Les manuscrits d’Irlande ou bien d’Alexandrie
Risquent bien de surprendre et ceux d’Egypte aussi
« Grand Architecte » ou « Dieu » ou bien « Etre Suprême »
Peu importe vraiment … là n’est pas le problème
L’Homme en sa dimension n’a besoin que d’Amour
Et de vivre en confiance … aujourd’hui et toujours
La dignité humaine est un vrai postulat
Si l’on s’est incarné on doit savoir pourquoi
Et si l’on peut subir douleurs et privations
C’est qu’elles ont un but et significations
Pour Isaac Newton … Science et Religion
N’étaient pas opposées mais avaient prétention
De mettre en évidence une vraie perfection
Qu’Il avait mis dedans « Divine Création »
Et tous ceux comme lui … peu importent leurs noms
Qui peuvent apporter … au monde … à leur façon
Un peu de connaissance en tentant d’éclairer
Se doivent maintenant de se manifester
Car en chacun de nous Il veut se faire entendre
A travers des écrits … des chants … des psaumes tendres
Pour que sa voix « Amour » berce tout l’Univers
Et unifie un Monde qu’Il ne veut plus pervers
Alors l’Ame et l’Esprit qui sont « Eternité »
Prouveront que la mort ne peut pas séparer
Des êtres « Tout Amour » qui sont finalité
Dans une perfection qu’il faut réaliser
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Liberté …
Liberté … Liberté … Ce mot tant évoqué
Ce mot qu’on glorifie … Pourquoi donc le chanter ?
Liberté … Liberté … Tu es sens à la vie
Ta flamme nous attire … luciole dans la nuit
Mais liberté de quoi … de toucher une rive ?
Liberté d’exister … Sampan à la dérive …
Ou liberté de croire en un jour bien meilleur
Et que sur cette Terre … les Peuples ont du cœur
Liberté de trouver en cette humanité
Troisième millénaire … de Paix … de Charité
Liberté de penser que les Hommes enfin
Cesseront de se battre … Fraternité au poing
Liberté animée d’Espérance … en ce jour
Pour que vienne bientôt … Universel – Amour …
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Tel un Homme …
« Tel un Homme pense en son cœur »
Oui « Tel il est » … « Tel il se meurt »
Effacez doute … oubliez plainte
Pour un Amour qui soit sans crainte
Et puis rêvez de l’impossible
Vous ne serez plus irascible
Dites vous toujours « Je veux être »
« Je veux la Paix … Je veux bien être »
« Je veux l’Amour … Je veux la joie »
« Je l’aurais parce que j’y crois »
L’utopiste a souvent « raisons »
Acceptez-le en vos maisons
Même s’il est pris pour un fou
Bien souvent il bouscule tout
Croyez en Lui passionnément
Il ne faut nécessairement
Espérer fort pour entreprendre
Persévérez … sachez attendre …
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A ne pas copier …
Il pavane et pérore … il n’est que vanité
Tout se rapporte à lui … à son « égo » enflé
Il est centre du monde … tout lui est rattaché
Il est sûr que sans lui rien ne pourrait marcher !
Seul son propre plaisir est digne d’intérêt
A sa chère personne on est subordonné
Il est la « palmeraie » dont on rêve … extasié
Tout au moins il le croit … il en est … persuadé !
Infantile et faussée son objectivité
Et pourtant il sait tout … lui le fort … le rusé
Retranché dans sa tour … il défend d’âpreté
Tout au long de ses jours … son « moi exacerbé »
Sur sa digne personne il est fort replié
Pour avoir quelque chose il vous faut le flatter
Il nage bien souvent dans la futilité
Et son talon d’Achille est la fragilité
Il n’a pas pu trouver l’équilibre en ce monde
Oh ne le jugez pas … souffrance en lui abonde
Il n’a pas l’essentiel et on ne peut l’aider
Car c’est un « parano » cet égoïste né !
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Dominer … Dominant … Dominé …
Dominer est un mot qui me fait sursauter
Dominer est un verbe à bannir en effet
Dominer … dominant … faut-il donc dominer ?
Faut-il être mouton … ou bien loup … diriger ?
Si tu es dominant il faudra te calmer
Tu mérites bien mieux que l’animal rusé
Qui défend son terrain pour survivre et régner
Tu es un être humain … tu ne dois l’oublier
On n’attend pas d’un homme qu’il domine en froideur
On attend … de l’Amour … et la chaleur d’un cœur
Une épaule … un soutien … une vraie protection
Une main ferme et sure qui ne soit prétention
On attend du respect … sans combat … sans violence
Un dominant n’est pas du tout humble je pense
Puisqu’il place une barre en l’échelle de vie
C’est contraire à Ses Lois … Jésus te l’aurait dit
Je n’ai pas le pouvoir de parler à sa place
Mais s’il a dominé … c’était en toute grâce
Avec un Amour tel qu’on ne peut égaler
Qu’il était dominant … sans aucun dominé
Et là est la faveur dont il était rempli
Il ne faut pas confondre un pouvoir qui trahit
L’instinct de dominer pour prouver qu’on existe
Et le vrai don de soi qui domine « en artiste »
Car tout n’est que virtuel dans l’infini tu sais
Et le Yin … et le Yang … et le Faux … et le Vrai
Il n’y a dominant … il n’y a dominé
Car là-haut tout se perd … car là-haut tout se crée
Toute situation doit être dominée
Et un « Homo sapiens » ne doit être un objet
Ou bien il démérite en son statut humain
Et perd son libre arbitre et son digne maintien
C’est un rapport de force … qui intervient en fait
Entre le dominant et « la petite bête »
Qu’on nomme « dominé » … ou mouton … ou brebis
Et qui doit faire place à l’Amour – Infini
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Bonnes vacances …
Vacance … Evasion … sont là à notre porte
Vous partirez bientôt … contents … dans la cohorte
Vers où … vers quoi … comment … faut se dépayser
L’essentiel est surtout de tout abandonner
Adieu à la routine … « métro … boulot … dodo »
Pour de nouveaux rivages … pour de nouveaux « ghettos »
Où vous rencontrerez pour un mois d’autres « fous »
Venus de Brest … de Lyon … de Munich … de Padoue …
C’est l’exil … c’est la fuite … on essaie d’oublier
Qu’au retour il faudra de nouveau retrouver
Le problème ennuyeux qu’on n’avait pu régler
Et que malgré ce mois … Tout va recommencer
Ce quotidien stressé … pourrait-on en changer ?
Peut-être faudrait-il mieux nous organiser
Et puisque le farniente est là profitons-en
Au soleil … allongé … pour faire nos bilans
Si l’on pouvait rentrer … reposé … libéré
De cette vie « gadget » vécue sans vérité
Repartant à zéro … on serait transformé
On serait tout Amour … On aurait tout gagné !!!
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Pitié pour la Forêt …
La Forêt est en deuil … elle est noire et brûlante
Je suis là sur le seuil de la chapelle ardente
Elle a ce cri de guerre : « Arrêtez … s’il vous plaît !
Ne les laissez plus faire … Au nom de la Forêt ! »
Les brindilles crépitent … au loin les canadairs
Vont et viennent … s’agitent … au-dessus d’un enfer
Et les arbres se tordent … leurs cimes vers le ciel
Ils crient « Miséricorde » aux humains démentiels
Arrêtez ce massacre … Au nom de qui … de quoi
L’odeur des pins est âcre et c’est partout l’effroi
Le mistral souffle encore et les pompiers fourbus
Multipliant efforts … n’en peuvent vraiment plus
Au coeur d’un rite ancien … altier le pin se dresse
Représentant la force … l’éternelle jeunesse
Il symbolise en fait une fécondité
La santé … l’opulence … et la vitalité
L’arbre incarne la vie … il relie tous les plans
Le monde souterrain … terre … ciel … et néant
On y grave des coeurs … on y vient en chantant
On y revient en pleur car l’autre il est absent
Le jour va se lever et demain nous irons
Tour à tour contempler la tristesse des monts
Ils étaient si jolis … ils sont désolation
En un après-midi … ils sont morts par millions !
Bientôt viendra l’automne … les arbres pleureront
Et de mémoire d’Homme … bien sûr … nous oublierons
Alors ce jour … meurtrie … la Forêt est prière
Stoppez les incendies … Il faut sauver la terre
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Lune … Mon Amie
Bonjour l’Ami Pierrot … Que faites-vous ici ?
La lune est mon domaine et je vous ai surpris
A lui faire une cour bien empressée je trouve
Vous êtes sur mes terres … je vais devenir louve
Madame l’Astronaute … mais comme vous je fuis
Ne supportant plus bien … ni le jour … ni la nuit
Tous ces pauvres « paumés » qui peuplent la Planète
Et c’est pour oublier que je me fais « Poète »
Madame l’Astronaute … sur mon croissant de lune
Je rêve à un meilleur … je dissipe la brume
Qui corrompt les esprits et l’arc-en-ciel m’aidant
Je les repeins ensuite aux couleurs du printemps
Les ayant « toilettés » comme de petits chats
J’ose espérer qu’après … ils seront paix et joie
Et vous sur cette lune … que faites vous donc là ?
Etrange kangourou … flottant entre deux pas
On m’y a envoyée pour tenter de savoir
Si l’Homme un certain jour pouvait avoir l’espoir
D’y reconstruire un monde … la Terre étant fichue
Et comme vous je cherche … à sauver … le Perdu
Alors joignons nos forces … et rêvons tous les deux
Main dans la main … en cœur … pour demain … lumineux
Poète ou astronaute …c’est un peu … même chose
Pour construire bonheur … il faut que l’Homme … Il ose
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Dialogue …
Pourquoi donc a-t-il créé l’Homme ?
Votre interrogation en somme
Vous voulez réponse en ce jour …
Est-ce par « Jeu » ou par … « Amour » ?
N’étant pas Dieu … donc à sa place
Ce n’est pas évident … de grâce
Et répondre à votre question
Je n’en ai pas la prétention
Mais pourquoi donc … Humain chercheur
Qui vous « targuez » d’avoir du cœur
Faites vous aussi des enfants
Expliquez-moi donc maintenant
Pourquoi les mettez-vous au monde
Chaque jour à chaque seconde
Vous les créez vraiment … pourquoi ?
Par « Jeu » … par « Amour » … ou par « Foi » ?
La réponse en chacun de nous
N’est pas scientifique … du tout
Mais vous l’aurez … oui … c’est certain
Quand viendra le bout du chemin
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L’Humain et le Cosmos …
Le « Petit » et l’ « Infiniment grand » …
Observe bien le Ciel … Il te parle de « Lui »
C’est l’Inconnu total ces étoiles qui luient
C’est l’ « infiniment grand » face à vous si « petits »
C’est l’interrogation de l’Humain … ébloui
On tente de percer en bipèdes pensants
Son mystère éternel pour se croire puissants
On y a installé une base spatiale
Qui pour le monde actuel est devenue banale
Mais ce n’est pas demain qu’on va tout expliquer
Il faut bien le savoir en toute humilité
Et réfléchir enfin sur nos devoirs d’humains
Faut se faire plaisir … ou exister … enfin
En cessant de courir après ce cher « savoir »
Qu’on ne peut attraper … bien malicieux « trou noir »
Le travers de l’ « égo » … s’incarne … si charmeur
Que dans un virtuel … il est dominateur
L’esprit qui est en nous va-t-il faire surface
Pour sauver la Planète avant qu’elle n’efface
Toute trace de vie … la pollution étant
Nous pourrions retourner au tout premier « néant »