Produire de la richesse autrement


Quel point commun y-a-t-il entre les militantes du Cercle d’auto promotion pour un développement durable au Bénin, les « piqueteros » d’Argentine, les activistes du mouvement social de micro-épargne Nigera Kori au Bangladesh, les « socios » des coopératives Mondragon en Espagne, les ouvriers de l’usine récupérée Zanon en Argentine … ?

Elles et ils sont investis dans une expérience d’économie sociale et solidaire collective, véritable laboratoire d’alternative sociale. On en recense des milliers. Souvent impulsées par la nécessité de survivre, elles existent et produisent autrement sans avoir nécessairement attendu une situation politique favorable.

Elles font rarement la une des journaux alors qu’elles présentent des éléments positifs, voire subversifs, servant à la construction d’un monde plus solidaire et juste.  Le livre « Produire de la richesse autrement » nous parle de ces usines récupérées, coopératives, micro-finance …Ce sont des révolutions silencieuses. Il relate quelques-unes de ces pratiques relevées à travers le monde.

Quel est le rapport de ces expériences à la mondialisation, à l’Etat, au pouvoir ? Peuvent-elles générer une croissance endogène ? Quels enseignements généraux tirer ? Quelle pourrait être une politique d’Etat favorisant le développement de l’économie sociale et solidaire ?

Des éléments de réponse existent pour le public à la recherche d’alternatives et d’autres modes de production et de consommation ou prêt à s’investir dans le domaine de l’économie sociale et solidaire.




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